C'est en 1988, dans la petite pièce refermée d'une chambre de Karaoké privée que naquit l'idée d'un jour fonder Kyōsō Gakuen ( Lycée de la Compétition ) dans les esprits de cinq jeunes hommes et femmes. Le mystérieux directeur -dont je ne vous révélerait pas le nom-, ainsi que les quatre premiers maîtres de maisons avaient jeté l'idée comme cela entre quelques popcorns et de nombreux verres de Saké. Après plusieurs autres discutions dans de petits cafés emplis de pâtisseries plus mignonnes les unes que les autres ou dans de simples sushis bars, l'idée fut finalement reprise. Qui l'eut cru, c'est en 1994, six ans plus tard, que le projet prenait enfin son envol.

Créé dans le but de partager les connaissances tout en apprenant coopération et compétition ( d'où le nom de l'établissement ), Kyōsō devient vite un bâtiment reconnu pour l'éducation particulière qu'on y apporte. Toutefois, ses maisons, ayant été crées spécialement pour apporter une éducation visée et adaptée à chaque type de personne, portent fruit et bientôt les médias ne se portent plus aux techniques dites "douteuses" pratiqués dans ce lycée, mais aux résultats terriblement bon de leurs étudiants à la fin des sessions.

Entre tournois plus déglingués les uns que les autres, concours de tout genre et autres duels intenses, les étudiants sont imprégnés de leurs matières et apprennent étrangement mieux que l'on ne le croirait. Probablement parce qu'étudier vous semble moins ennuyant quand ça implique de voir votre prof principal de Maison tenter d'attraper une pomme avec sa bouche dans une bassine emplie d'eau? Bien sur, il y a aussi les cours normaux, mais les évènements nombreux attirent de plus en plus d'élèves de partout dans le monde. Si bien qu'il devient obligatoire de parler au moins l'anglais pour s'inscrire au Lycée, de façon pourvoir mieux communiquer entre nationalités en attendant un apprentissage de la langue principale de l'école ; le japonais. Il est, toutefois, recommandé d'avoir quelques bases de cette dernière. On n'accepte pas n'importe qui !

Bien sur, il y a eut une période plus marquante encore pour la réputation de Kyōsō Gakuen, dans les alentours de 2003. Mais cela, je laisse le plaisir à Roberto de vous en faire part et de vous notifier quelques derniers points dans une interview des plus...lucratives?
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